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Recherche par lecteur : Jean-Laurent Savoye

1663 résultats. Page 84 sur 84.

Lu par : Jean de Rham
Durée : 9h. 46min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 878
Résumé:Chasse à l'homme, barrages de police, grouillement des « indics », contrôle des « garnis », filatures, interrogatoires, écoutes téléphoniques : tels sont les ingrédients de Flic Story, la première histoire policière vraie écrite par un policier et portée à l'écran par Alain Delon. D'un côté : Roger Borniche, trente ans, recordman des arrestations de truands, un flic pas comme les autres auquel les gangsters écrivent pour le remercier de son humanité. Signe particulier : ne porte jamais d'arme. De l'autre : Emile Buisson, l'insaisissable tueur aux yeux noirs, quarante-sept ans, cent hold-up, vingt meurtres. Caractéristique : n'hésite pas à exécuter ses complices pour qu'ils ne le dénoncent pas à la police. Entre les deux : un fantastique duel dont les six manches tiendront le lecteur en haleine mieux que le plus fort des romans policiers.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 716
Résumé:Récit dans lequel l'auteur évoque la figure de son père, chef de cabinet de Pierre Laval. Il en fait un homme étonnant et drôle, pessimiste et séducteur, gastronome, grand seigneur avec ostentation, entouré d'amis illustres: Giraudoux, Larbaud, Morand, Berl, Robert Aron, etc.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 16h. 41min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 605
Résumé:Il nous donne une biographie complète, entièrement revue et, mêlant étroitement l'existence et l'œuvre, il nous montre leurs points de jonction. Il a dit dans une interview : " Combien d'hommes illustres ont des vies qui ne sont pas à la taille de leurs œuvres ! Devant ces destins honnêtes, le biographe se découvre des envies de romancier. Il complète, il interprète, il invente... Il pense plus à son art qu'à la vérité, à lui-même qu'à son héros. Il ne sert pas un grand homme, il s'en sert. Mais, envers Dostoïevski, c'est par timidité qu'on pécherait plus facilement que par audace. Son histoire est tellement riche en désespoirs démesurés, en joies miraculeuses, qu'on serait tenté non de la " romancer " mais de l'éteindre. Il semble que cet écrivain de génie ait organisé son existence dans le style des romans, qu'il ait fait de son existence le plus passionnant de ses romans. " Et c'est ce roman que Henri Troyat nous raconte avec un sens humain bouleversant. Jamais modèle n'a trouvé peintre plus respectueux, plus sensible, plus digne aussi de rendre sa grandeur, d'évoquer son drame intérieur, ses détresses, mais aussi ses forces prodigieuses. On suit Dostoïevski dans les difficultés d'une vie souvent misérable, en prison, devant le peloton d'exécution, au bagne, en exil, dans les élans de ses passions. Touche après touche, minutieusement et pourtant avec ampleur, le portrait se compose, grandit jusqu'à devenir une fresque de l'époque, une évocation hallucinante de violence et de vérité.